vendredi 17 octobre 2014

Attendre son Pays

 C'est un peu comme attendre une étoile,
comme attendre le Messie
 c'est un peu comme tendre sa voile
et attendre le Chergui
 c'est un peu comme une longue prière
 qu'on ne fait que dans son lit
 un peu désespérant
 d'attendre son pays
 c'est un peu attendre qu'une mère
 lave les planchers salis
 c'est plutôt même le contraire
 ce sont les jeunes auourd'hui
 qui secouent toute la vieille poussière
 jettent les idées ternies
 c'est un peu inquiétant
 d'attendre son pays
 c'est un peu comme attendre au théâtre
 que le spectacle commence
 on trépigne
 on a hâte
 de voir les performances
 faut que le casting soit le bon
 pour que le peuple se lève d'un bon
 c'est un peu comme attendre un traîneau
 au-dessus des cheminées
 c'est un peu comme attendre un cadeau
 mais toujours être oublié
 on ne croit plus à l'habit rouge et blanc
 on ne veut plus se déguiser
 c'est un présent
 tout bleu que l'on veut déballer
 c'est un peu comme attendre au théâtre
 que le spectacle commence
 on trépigne
 on a hâte
 de voir les performances
 faut que le casting soit le bon
 pour que le peuple se lève d'un bon
 se lève d'un bond
 on ne peut pas attendre
 que des feux viennent prendre
 nos forêts, notre langue
 qu'est-ce qu'on ferait de nos cendres ?
 on est là qu'on piétine
 un pays plein de promesses
 faut-il aller en chine ?
 pour savoir nos richesses ?
 on attend de tracer les confins
 d'un pays déjà formé
 souligner le contour du jardin
 qui nous fleurit sous les pieds
 c'est un peu comme attendre le train
 qui nous attend lui aussi
 c'est un peu insensé
 d'attendre son pays
 c'est un peu inquiétant
 d'attendre son pays
 non mais qu'est-ce qu'on attend
 pour devenir un pays ?
Sous ta
miséricorde
nous nous réfugions,
Mère de Dieu !
Nos
prières, 
ne les méprises
pas dans les nécessités,
mais du danger
délivre-nous,
seule pure,
seule bénie.
S ous votre garde nous nous réfugions, sainte Mère de Dieu; ne méprisez pas nos prières dans le besoin où nous sommes, mais délivrez-nous de tout danger, Ô Vierge glorieuse et bénie.
Consolation des affligés, priez pour nous; aide des chrétiens, priez pour nous.
Daignez m'accorder de vous louer, Vierge très sainte; donnez-moi la force contre vos ennemis.

Vous ma Mère, Vous en qui je mets ma confiance.
Vierge, Mère de Dieu, Marie, priez Jésus pour moi.


Reine très digne du monde,
Marie toujours vierge,
ntercédez pour que nous trouvions le salut et la paix
Vous qui avez enfanté le Christ seigneur et sauveur de tous.
Marie, mère de la grâce,
Mère de la miséricorde,
protégez-nous contre l'ennemi
et recevez-nous à l'heure de la mort.
Venez à notre secours, très tendre Vierge Marie, dans toutes nos épreuves, difficultés et besoins et demandez pour moi à votre divin Fils qu'Il nous libère de tous maux et périls de l'âme et du corps.
Souvenez-vous, Ô très miséricordieuse Vierge Marie, qu'on n'a jamais entendu dire qu'aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, imploré votre assistance et réclamé votre secours ait été abandonné.
Animé d'une pareille confiance, ô vierge des vierges, ô ma Mère, je cours vers vous et, gémissant sous le poids de mes péchés, je me prosterne à vos pieds.
Ô Mère du Verbe incarné, ne méprisez pas mes prières mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Amen.
Au chef des chantres. Par le serviteur de l'Eternel David qui prononça en l'honneur du Seigneur les paroles de ce cantique lorsque l'Eternel l'eut délivre de la main de tous ses ennemis et de la main de Saul.
Il dit: Je t'aime à Eternel qui es ma force!  Seigneur tu es mon rocher et ma forteresse un libérateur pour moi mon Dieu tutélaire en qui je m'abrite mon bouclier mon puissant sauveur mon rempart!
Gloire m'ecrie-je à l'Eternel et je suis délivre de mes ennemis!  Dejà m'enveloppaient les liens de la mort les torrents de la perdition me faisaient frémir , j'étais enlace dans les réseaux de la tombe surpris dans les filets de la mort.
 Dans ma détresse j'invoque le Seigneur je fais appel à mon Dieu de son sanctuaire il entend ma voix mon cri est monte à ses oreilles.  Soudain la terre oscille et tremble les fondements des montagnes sont ébranles secoues par la colere de Dieu.  Des vapeurs s'exhalent signe de son courroux de sa bouche sort un feu dévorant jaillissent de brulantes étincelles.
Il incline les cieux et descend sous ses pieds une brume épaisse.  Porte sur les chérubins il vole il plane sur les ailes du vent.  Des ténèbres il se fait une mystérieuse retraite il s'enveloppe comme d'un pavillon des eaux obscures d'opaques nuages.  De l'éclat qui l'entoure s'élancent ses nuées la grêle et des flammes ardentes.
Il tonne dans les cieux l'Eternel le Dieu supreme fait entendre sa voix la grele et les flammes ardentes.  Il décoche ses flèches et il les disperse il lance des éclairs et les frappe de stupeur. Le lit des fleuves s'est découvert les fondements de la terre ont été mis à nu .A ta voix impèrieuse à Eternel au souffle du vent de ta colère.  Il étend d'en haut sa main me saisit me retire du sein des grandes eaux ; il me délivre de mon puissant ennemi de mes adversaires trop forts pour moi.  Ils étaient à l'âffut de mes malheurs mais l'Eternel a été mon appui.
Il m'a mis au large m'a sauvé parce qu'il m'aime.  Le Seigneur me traite selon ma droiture il récompense la pureté de mes mains.  C'est que je suis fidele aux voies du Seigneur jamais je n'ai trahi mon Dieu.  Toutes ses lois me sont presentes ses statuts je ne m'en écarte point.  Attache àlui sans réserve je me suis tenu en garde contre mes fautes. Oui le Seigneur m'a rémuneré selon ma droiture selon la pureté de mes mains dont ses yeux sont témoins. Tu te montres aimant pour qui t'aime loyal envers l'homme loyal  sincere avec les coeurs purs mais artificieux avec les pervers!  Oui tu viens en aide à un peuple humilié et tu abaisses les yeux hautains.  Oui tu fais briller ma lumiere à  L'Eternel mon Dieu illumine mes tenebres
Soutenu par lui j'attaque un bataillon gràce à mon Dieu j'escalade un rempart.  Dieu puissant! parfaite est sa voie la parole du Seigneur est infaillible il est le bouclier de quiconque espere en lui.  Qui est Dieu hormis l'Eternel Qui un rocher tutelaire si ce n'est notre Dieu?  Ce Dieu me ceint de force et me fait suivre une voie parfaite.  Il rend mes pieds agiles comme ceux des biches et m'installe sur mes hauteurs.  Il instruit mes mains aux combats mes bras à manier l'arc d'airain.  Tu me prêtes le bouclier de ton secours ta droite est mon appui ta bienveillance fait ma superiorité. 
Tu donnes de l'aisance à mes pas et empèches mes talons de chanceler.  Je poursuis mes ennemis je les atteins point de relàche que je ne les aie detruits.  Je les abats ils ne pourront plus se relever ils gisent désormais à mes pieds.  C'est toi qui m'as arme de vaillance pour la guerre qui fais plier sous moi mes agresseurs , mes ennemis tu les fais fuir devant moi et mes adversaires j'en fais justice.  Ils s'adressent à bout de ressources à l'Eternel: point de réponse! 4Je les écrase comme la poussière qu'emporte le vent comme la fange des rues je les pulverise. Tu me fais triompher des factions du peuple tu me places à la tete des nations des peuplades inconnues deviennent mes tributaires , Au seul bruit de mon nom ils se soumettent à  moi les fils d'un sol étranger me rendent hommage. 
Les fils de l'etranger perdent courage ils tremblent au fond de leurs retraites.  Vivant est le Seigneur et béni mon rocher! Glorifie le Dieu qui me protege!  O Dieu c'est toi qui me procures vengeance qui fais tomber des peuples à mes pieds , qui m'arraches à  mes ennemis me fais triompher de mes agresseurs et échapper aux hommes de violence
Je te rends donc grâce Seigneur à la face des peuples et je chante ta gloire ,à toi qui assures de grandes victoires à ton roi qui combles de bienfaits  David et sa posterité à jamais!

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