mardi 15 février 2011
mercredi 9 février 2011
L'achat et la vente
et un marchand dit,
parle-nous d'acheter et de vendre.
et il répondit et dit :
pour vous la terre produit ses fruits, les biens de chacuns produits sa richesse, et vous ne serez jamais dans le besoin si vous savez comment emplir vos mains.
c'est dans l'échange des dons de la terre, des dons de la pierre que vous trouverez l'abondance et serez satisfaits.
pourtant, s'il n'est fait avec amour et aimable justice ;-), l'échange peut conduire les uns à l'avidité et les autres à la famine.
quand sur la place du marché, vous travailleurs de la mer, des champs et des vignes, rencontrez les tisserands, les potiers et les cueilleurs d'épices,
invoquez alors le maître esprit de la terre, qu'il vienne au milieu de vous et sanctifie les poids et les mesures qui comparent valeur contre valeur.
et ne tolérez pas que ceux dont les mains sont stériles prennent part à vos transactions, eux qui vendent leurs mots contre votre travail.
a ceux-là vous pourriez dire :
"viens avec nous dans le champ, ou va avec nos frères à la mer et jette ton filet ;
car la terre et la mer seront généreux avec toi comme avec nous"
et s'il vient des chanteurs, des chanteuses et des joueurs de flûte - achetez de leurs offres aussi.
car eux aussi recueillent les fruits et l'encens et ce qu'ils vous apportent, bien que façonné de rêves, sont des biens et de la nourriture pour votre âme.
et avant de quitter la place du marché, veillez à ce que personne ne parte lesé!
car le maître esprit de la terre ne dormira pas en paix au gré du vent, jusqu'à ce que les besoins et les biens du moindre d'entre vous ne soient satisfaits.
du temps vous voudriez faire un fleuve, sur la berge duquel vous seriez assis pour le regarder couler
pourtant, ce qui est éternel en vous connaît l'éternité de la vie
et il sait qu'hier n'est que le souvenir d'aujourd'hui et que demain est son rêve
et que ce qui en vous chante et s'émerveille réside encore au sein du premier instant qui dispersa les étoiles dans l'univers
qui parmi vous ne ressent point que son pouvoir d'aimer est sans limites ?
et pourtant qui ne ressent pas cet amour même, bien que sans limites, concentré au centre de son être, et n'errant pas de pensée d'amour en pensée d'amour, ni de geste d'amour en geste d'amour ?
le temps n'est-il pas comme l'amour, indivisible et sans repos ?
mais si dans vos pensées vous devez mesurer le temps en saisons, que chaque saison encercle toutes les autres saisons!
et qu'aujourd'hui étreigne le passé dans le souvenir, et le futur dans le désir ;-)
parle-nous d'acheter et de vendre.
et il répondit et dit :
pour vous la terre produit ses fruits, les biens de chacuns produits sa richesse, et vous ne serez jamais dans le besoin si vous savez comment emplir vos mains.
c'est dans l'échange des dons de la terre, des dons de la pierre que vous trouverez l'abondance et serez satisfaits.
pourtant, s'il n'est fait avec amour et aimable justice ;-), l'échange peut conduire les uns à l'avidité et les autres à la famine.
quand sur la place du marché, vous travailleurs de la mer, des champs et des vignes, rencontrez les tisserands, les potiers et les cueilleurs d'épices,
invoquez alors le maître esprit de la terre, qu'il vienne au milieu de vous et sanctifie les poids et les mesures qui comparent valeur contre valeur.
et ne tolérez pas que ceux dont les mains sont stériles prennent part à vos transactions, eux qui vendent leurs mots contre votre travail.
a ceux-là vous pourriez dire :
"viens avec nous dans le champ, ou va avec nos frères à la mer et jette ton filet ;
car la terre et la mer seront généreux avec toi comme avec nous"
et s'il vient des chanteurs, des chanteuses et des joueurs de flûte - achetez de leurs offres aussi.
car eux aussi recueillent les fruits et l'encens et ce qu'ils vous apportent, bien que façonné de rêves, sont des biens et de la nourriture pour votre âme.
et avant de quitter la place du marché, veillez à ce que personne ne parte lesé!
car le maître esprit de la terre ne dormira pas en paix au gré du vent, jusqu'à ce que les besoins et les biens du moindre d'entre vous ne soient satisfaits.
du temps vous voudriez faire un fleuve, sur la berge duquel vous seriez assis pour le regarder couler
pourtant, ce qui est éternel en vous connaît l'éternité de la vie
et il sait qu'hier n'est que le souvenir d'aujourd'hui et que demain est son rêve
et que ce qui en vous chante et s'émerveille réside encore au sein du premier instant qui dispersa les étoiles dans l'univers
qui parmi vous ne ressent point que son pouvoir d'aimer est sans limites ?
et pourtant qui ne ressent pas cet amour même, bien que sans limites, concentré au centre de son être, et n'errant pas de pensée d'amour en pensée d'amour, ni de geste d'amour en geste d'amour ?
le temps n'est-il pas comme l'amour, indivisible et sans repos ?
mais si dans vos pensées vous devez mesurer le temps en saisons, que chaque saison encercle toutes les autres saisons!
et qu'aujourd'hui étreigne le passé dans le souvenir, et le futur dans le désir ;-)
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