jeudi 16 décembre 2010
lundi 13 décembre 2010
chante l'air des mots
la vie nous peint les jours au hasard du voyage
en amour en douleur en mélancolie
c'est un peu de ce temps qu'on laisse en héritage
enrichi du regard qu'on a posé sur lui...
on ne sait pas toujours à quel point les hommes
gardent de leurs blessures le souvenir longtemps
ni comme on a raison d'aider à s'épanouir
cette fleur dans leur âme qui commence à s'ouvrir
c'était pour lui qu'il voulait
tendre la main vers la paix
et regarder les hommes désunis
sortir enfin de la nuit
j'ai marié des hommes qui s'aiment
et la lumière de leurs sourires
était le plus beau des poèmes
qu'il m'ait été donné d'écrire
sans amour notre vie n'est plus qu'un long voyage
un train qui nous emporte à travers les années
mais celui qui regarde un peu le paysage
ouvre déjà son coeur pour une éternité
il reste encore ailleurs au monde
bien d'autres murs à faire tomber
on entend la rumeur qui gronde
et plus rien ne peut l'arrêter
ce sont des gens sans importance
et qui parfois ne disent rien
mais qui sont là par leur silence
quand ils sont loin
chacun de nous dans son domaine
participe selon son coeur
à la grande aventure humaine
par sa quête vers le bonheur
il est dit que jamais la flamme
de la vérité dans nos âmes
ne peut s'éteindre tout à fait
et qu'elle nous éclaire en secret
toi qui redessinais les lignes de ma main
pour y glisser la tienne...
en amour en douleur en mélancolie
c'est un peu de ce temps qu'on laisse en héritage
enrichi du regard qu'on a posé sur lui...
on ne sait pas toujours à quel point les hommes
gardent de leurs blessures le souvenir longtemps
ni comme on a raison d'aider à s'épanouir
cette fleur dans leur âme qui commence à s'ouvrir
c'était pour lui qu'il voulait
tendre la main vers la paix
et regarder les hommes désunis
sortir enfin de la nuit
j'ai marié des hommes qui s'aiment
et la lumière de leurs sourires
était le plus beau des poèmes
qu'il m'ait été donné d'écrire
sans amour notre vie n'est plus qu'un long voyage
un train qui nous emporte à travers les années
mais celui qui regarde un peu le paysage
ouvre déjà son coeur pour une éternité
il reste encore ailleurs au monde
bien d'autres murs à faire tomber
on entend la rumeur qui gronde
et plus rien ne peut l'arrêter
ce sont des gens sans importance
et qui parfois ne disent rien
mais qui sont là par leur silence
quand ils sont loin
chacun de nous dans son domaine
participe selon son coeur
à la grande aventure humaine
par sa quête vers le bonheur
il est dit que jamais la flamme
de la vérité dans nos âmes
ne peut s'éteindre tout à fait
et qu'elle nous éclaire en secret
toi qui redessinais les lignes de ma main
pour y glisser la tienne...
dimanche 5 décembre 2010
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